Vidéos et reportages

Un mois et demi après les attaques de Bombay dans lesquelles huit otages israéliens ont été tués par des islamistes, la communauté juive locale reste traumatisée. Mais elle a décidé de rester.

Revue de presse

Le combat des dix dernières familles juives de New Delhi
06/06/11 - Guysen.com
"Dans la capitale de l’un des pays les plus multi-religieux, un rabbin qui n’a jamais été ordonné est attaché aux traditions antiques. « Notre approche libérale nous permet de survivre », explique le secrétaire honoraire de la synagogue. A New-Delhi, ce rabbin permet à dix familles juives de pratiquer le culte."


La Communauté juive en Inde
11/07/09 - Couleur indienne
"Ces derniers élèvent une synagogue en 1568 au coeur du quartier juif de la ville. Mais ils en refusent l'accès aux premiers juifs indianisés. C'est aujourd'hui le principal vestige de la présence juive à Cochin, visitée comme telle par les touristes. Mais même si le lieu ferme le vendredi et le samedi pour Shabbat, il y a bien longtemps qu'il n'y a plus de rabbin ni de cérémonie."

Des Bnei Menashe s'installent en Israël
26/08/07
- blogdei
"Les Bnei Menashe soutiennent descendre d'une des tribus perdues d'Israël. Le groupe est arrivé en Israël en fin de semaine dernière grâce à un organisme, Shavei Israël, situé à Jérusalem. Les nouveaux immigrants sont actuellement logés à Pardes Hanna."

Les Juifs de Bombay ont le coeur qui balance entre leur patrie et Sion
04/02/07
- blogdei
"Pour les 4 480 juifs de l’Inde, dont 80 % vivent à Bombay, la vie est un éternel dilemme entre s’installer en Israël ou rester en Inde. Bien que l’émigration soit considérablement inférieure à celle des années qui ont suivi l’indépendance de l’Inde, en 1947 (il y eut un exode massif après la formation d’Israël, en 1948), le nombre de juifs à Bombay ne cesse de diminuer. Tant les Bene Israël (littéralement, “fils d’Israël”), qui ont échoué sur la côte occidentale de l’Inde après un naufrage il y a deux mille ans, que les juifs baghdadis, des marchands qui ont fui l’oppression en Irak au XVIIIe siècle, font de leur mieux pour garder, comme le dit l’auteur indienne juive Esther David, “les jeunes dans le bercail”."